Voyages en avion nécessairement polluants, hordes de touristes débarquant dans des sites vierges, bétonnage des côtes, comportements irrespectueux des cultures locales; le voyage à l'étranger, même chic, n'est pas toujours éthique. Voici un petit guide pour voyager loin en ménageant sa planète.
Les vols bon marché ont raccourci les distances, faisant de la planète un véritable « terrain de jeu », pour reprendre le slogan publicitaire d’un voyagiste. Leurs prix, déconnectés des étendues parcourues, ne tiennent pas compte du coût caché que représentent notamment les émissions de CO2. Et les impacts du tourisme ne se limitent pas aux transports longs courriers et se prolongent une fois sur place : prélèvements d’eau dans le désert, bétonnage des côtes, déchets abandonnés sur les sites etc. En outre, ce marché n’offre pas toujours le levier de développement attendu par les pays du sud et les bouleversements sociaux (travail des enfants, commercialisation de rites culturels…), eux, sont assez répandus. Transports doux, tourisme équitable, éco-volontariat et compensation carbone permettent de voyager autrement. De nombreuses prestations proposent aux voyageurs de réduire leur impact sur la nature, mais aussi de ne plus bronzer idiot et de rencontrer les habitants, afin que le tourisme constitue à la fois une occasion d’ouverture et une manne utile à la population locale. Attention cependant, ces critères ne doivent pas occulter l’objectif indéniable des vacances réussies : une vraie détente. Les Trucs verts présentés ci-dessous doivent donc permettre à chacun de trouver sa destination, en fonction de ses attentes et de son profil. Voyage en train ponctué de nuits chez l’habitant, mission écovolontaire ou vol « compensé carbone » vers un écolodge lointain, le choix est large pour passer des vacances aussi responsables que dépaysantes. Plus sur http://www.mescoursespourlaplanete.com/TrucsVerts/Vacances_aa_l_aetranger_41.html
Les vols bon marché ont raccourci les distances, faisant de la planète un véritable « terrain de jeu », pour reprendre le slogan publicitaire d’un voyagiste. Leurs prix, déconnectés des étendues parcourues, ne tiennent pas compte du coût caché que représentent notamment les émissions de CO2. Et les impacts du tourisme ne se limitent pas aux transports longs courriers et se prolongent une fois sur place : prélèvements d’eau dans le désert, bétonnage des côtes, déchets abandonnés sur les sites etc. En outre, ce marché n’offre pas toujours le levier de développement attendu par les pays du sud et les bouleversements sociaux (travail des enfants, commercialisation de rites culturels…), eux, sont assez répandus. Transports doux, tourisme équitable, éco-volontariat et compensation carbone permettent de voyager autrement. De nombreuses prestations proposent aux voyageurs de réduire leur impact sur la nature, mais aussi de ne plus bronzer idiot et de rencontrer les habitants, afin que le tourisme constitue à la fois une occasion d’ouverture et une manne utile à la population locale. Attention cependant, ces critères ne doivent pas occulter l’objectif indéniable des vacances réussies : une vraie détente. Les Trucs verts présentés ci-dessous doivent donc permettre à chacun de trouver sa destination, en fonction de ses attentes et de son profil. Voyage en train ponctué de nuits chez l’habitant, mission écovolontaire ou vol « compensé carbone » vers un écolodge lointain, le choix est large pour passer des vacances aussi responsables que dépaysantes. Plus sur http://www.mescoursespourlaplanete.com/TrucsVerts/Vacances_aa_l_aetranger_41.html
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