La responsabilité sociale d’entreprise (RSE), une approche qui intègre des considérations économiques, sociales et environnementales dans un cadre commercial, est aujourd’hui largement acceptée par les organisations, au Canada comme à l’étranger. Les sociétés adoptent la RSE d’abord parce que c’est la bonne chose à faire pour l’environnement, les employés et la communauté en général, mais aussi en raison des avantages que cela leur procure.
C’est ce qu’a révélé un sondage publié plus tôt cette année par Economist Intelligence Unit qui a été mené auprès de 1200 dirigeants d’entreprise de partout dans le monde, qui prévoyaient profiter de la mise en œuvre de stratégies et de politiques dans le domaine de la RSE. Les six principaux avantages mentionnés étaient la capacité d’attirer des clients, une plus grande valeur pour les actionnaires, une rentabilité accrue, la capacité à gérer les risques, des produits et des processus de meilleure qualité et, enfin, la capacité à recruter des employés de premier choix.
Les entreprises oublient souvent ce dernier avantage, c’est-à-dire la capacité à recruter des employés de qualité, au moment de concevoir des politiques et des stratégies de RSE. De plus en plus de Canadiens souhaitent travailler pour un employeur qui partage leurs valeurs sociales et environnementales. L’ampleur de cette tendance a été mesurée dans le cadre d’un sondage réalisé par GlobeScan en 2005, qui indiquait que 91 % des Canadiens en âge d’occuper un emploi désiraient travailler pour une société responsable sur les plans social et environnemental. Renforcer son programme de RSE se révèle donc un bon point de départ pour une entreprise qui cherche à se démarquer comme employeur de choix.
Les opinions des employés peuvent aussi profiter énormément aux entreprises qui cherchent à améliorer leur rendement en matière de RSE. Cela semble une conclusion logique lorsque les questions de RSE touchent directement les employés, tels la santé et la sécurité du travail, les droits de la personne, les normes du travail, etc. Toutefois, le même principe s’applique aussi aux questions qui n’ont pas une incidence directe et immédiate sur les employés, comme l’environnement.
C’est en fait dans le domaine de la performance environnementale que les employés peuvent offrir le plus d’assistance aux entreprises. Ils représentent souvent une source valable d’idées nouvelles quant à la façon de minimiser la consommation énergétique et de réduire les achats et les déchets. La raison est simple : ce sont les employés qui s’occupent des activités journalières et qui comprennent où se trouvent les meilleures occasions d’économie d’énergie et de réduction des déchets. Il est bien d’embaucher un spécialiste de l’environnement, mais les entreprises ne doivent pas sous‑estimer ou ignorer les solutions proposées par les employés à cet égard. Il en va de même en ce qui concerne les politiques. Les employés peuvent en effet fournir des perspectives intéressantes lors de l’élaboration d’une politique environnementale ou d’une stratégie de développement durable à l’échelle de l’entreprise.
De nombreuses sociétés canadiennes connaissent bien le rôle précieux que peuvent jouer les employés dans l’amélioration de la performance environnementale. La Banque de Montréal a par exemple récemment créé un forum des employés qui agit comme groupe de rétroaction concernant ses nouveaux programmes, stratégies et politiques environnementaux. Les membres du forum ont été choisis en fonction de leur intérêt pour l’environnement et ont comme mandat de fournir des suggestions sur la manière d’accroître la sensibilisation des employés et le taux de participation aux initiatives environnementales.
Il n’y a aucun doute que l’engagement des employés doit être perçu comme un élément important des efforts faits par une entreprise pour améliorer sa performance sociale et environnementale.
C’est ce qu’a révélé un sondage publié plus tôt cette année par Economist Intelligence Unit qui a été mené auprès de 1200 dirigeants d’entreprise de partout dans le monde, qui prévoyaient profiter de la mise en œuvre de stratégies et de politiques dans le domaine de la RSE. Les six principaux avantages mentionnés étaient la capacité d’attirer des clients, une plus grande valeur pour les actionnaires, une rentabilité accrue, la capacité à gérer les risques, des produits et des processus de meilleure qualité et, enfin, la capacité à recruter des employés de premier choix.
Les entreprises oublient souvent ce dernier avantage, c’est-à-dire la capacité à recruter des employés de qualité, au moment de concevoir des politiques et des stratégies de RSE. De plus en plus de Canadiens souhaitent travailler pour un employeur qui partage leurs valeurs sociales et environnementales. L’ampleur de cette tendance a été mesurée dans le cadre d’un sondage réalisé par GlobeScan en 2005, qui indiquait que 91 % des Canadiens en âge d’occuper un emploi désiraient travailler pour une société responsable sur les plans social et environnemental. Renforcer son programme de RSE se révèle donc un bon point de départ pour une entreprise qui cherche à se démarquer comme employeur de choix.
Les opinions des employés peuvent aussi profiter énormément aux entreprises qui cherchent à améliorer leur rendement en matière de RSE. Cela semble une conclusion logique lorsque les questions de RSE touchent directement les employés, tels la santé et la sécurité du travail, les droits de la personne, les normes du travail, etc. Toutefois, le même principe s’applique aussi aux questions qui n’ont pas une incidence directe et immédiate sur les employés, comme l’environnement.
C’est en fait dans le domaine de la performance environnementale que les employés peuvent offrir le plus d’assistance aux entreprises. Ils représentent souvent une source valable d’idées nouvelles quant à la façon de minimiser la consommation énergétique et de réduire les achats et les déchets. La raison est simple : ce sont les employés qui s’occupent des activités journalières et qui comprennent où se trouvent les meilleures occasions d’économie d’énergie et de réduction des déchets. Il est bien d’embaucher un spécialiste de l’environnement, mais les entreprises ne doivent pas sous‑estimer ou ignorer les solutions proposées par les employés à cet égard. Il en va de même en ce qui concerne les politiques. Les employés peuvent en effet fournir des perspectives intéressantes lors de l’élaboration d’une politique environnementale ou d’une stratégie de développement durable à l’échelle de l’entreprise.
De nombreuses sociétés canadiennes connaissent bien le rôle précieux que peuvent jouer les employés dans l’amélioration de la performance environnementale. La Banque de Montréal a par exemple récemment créé un forum des employés qui agit comme groupe de rétroaction concernant ses nouveaux programmes, stratégies et politiques environnementaux. Les membres du forum ont été choisis en fonction de leur intérêt pour l’environnement et ont comme mandat de fournir des suggestions sur la manière d’accroître la sensibilisation des employés et le taux de participation aux initiatives environnementales.
Il n’y a aucun doute que l’engagement des employés doit être perçu comme un élément important des efforts faits par une entreprise pour améliorer sa performance sociale et environnementale.
1 commentaire:
Vive le Marketing! Et les croissants!
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