lundi 30 novembre 2009

Rien à faire ??? Cliquez ....

En vous rendant sur le site http://www.timeforclimatejustice.org/ vous pouvez télécharger gratuitement le titre. Chaque téléchargement comptera comme une pétition individuelle ajoutant son nom à la requête faite aux décideurs internationaux de parvenir à un accord ambitieux, équitable et mondial pour le sommet des Nations Unies sur les changements climatiques de Copenhague. Plus de 1,3 Million de personnes ont déjà adhéré à cette campagne.

mercredi 25 novembre 2009

Comprendre le réchauffement climatique comme un expert


Savez-vous que : -19°C : c’est la température moyenne qu’il ferait sur Terre en l’absence de tout effet de serre. 2 tonnes de pétrole : c’est l’équivalent de la quantité d’énergie produite en moyenne en un an pour chaque habitant dans le monde. 70 mètres : c’est l’élévation attendue du niveau de la mer si l’intégralité des glaces présentes sur Terre venait à fondre… Dans ce livre résolument pédagogique, l’auteur aborde les multiples facettes du réchauffement climatique en partant à chaque fois d’un ordre de grandeur clé. Puis il propose un exposé clair et didactique du thème en s’appuyant sur des chiffres percutants.
Lu sur http://www.cdurable.info/Comprendre-le-rechauffement-climatique-comme-un-expert,2145.html

Les femmes sont plus affectées par le changement climatique


Devant les dérèglements climatiques, nous ne sommes pas tous au même niveau. Les pauvres et les femmes sont en effet les populations les plus affectées selon un rapport du Fonds des nations unies pour la population. Qui plaide pour une approche « plus humaine » du problème lors du sommet de Copenhague.
« Le changement climatique n’est pas qu’une question technique, de réduction des émissions de CO2. Il a aussi et surtout des conséquences sur les populations. Il faut impérativement mettre un visage humain sur les questions climatiques », plaide Yves Bergevin, coordinateur pour la santé maternelle à l’UNFPA (Fonds des nations unies pour la population) lors de la présentation du rapport annuel sur l’état de la population mondiale 2009. Et ce visage est souvent celui d’une femme, pauvre. Car nous ne sommes pas tous égaux devant le climat et ses dérèglements, loin s’en faut.

« Les femmes supportent une partie écrasante du fardeau lié aux changements climatiques, mais elles ont été jusqu’ici en grande partie oubliées dans le débat sur la manière d’aborder les problèmes liés à la hausse du niveau des mers, aux sécheresses, à la fonte des glaciers et aux phénomènes météorologiques extrêmes », indique le rapport. Si les femmes, en particulier dans les pays pauvres, sont plus vulnérables, c’est en grande partie parce qu’elles sont moins autonomes. Certes, certains facteurs biologiques les rendent plus fragiles lors des fortes chaleurs ou des tempêtes mais c’est surtout leur statut social qui handicape leur capacité d’adaptation.
Lu sur (et lire la suite) http://rechauffement-climatique.novethic.fr/environnement-le-changement-climatique/changement_climatique/les_avis_des_experts/les_femmes_sont_plus_affectees_par_changement_climatique/122411.jsp?utm_source=newsletter&utm_medium=Email&utm_content=novethicInfo&newsletter=ok

lundi 23 novembre 2009

Climat : vous ne pouvez pas aller à Copenhague ? Copenhague vient à vous !


FNE (http://www.fne.asso.fr/fr/climat/sommet-de-copenhague.html) lance un site internet consacré au sommet mondial du climat qui doit se tenir du 7 au 18 décembre 2009 : présentation.

Vous informer

Ce site « Bienvenue à Copenhague » présente la position et les idées du plus grand mouvement associatif français sur le défi de ce siècle : la réponse à la crise climatique. Il propose :
de nombreux dossiers sur des sujets clés : la voiture électrique, les agrocarburants, le stockage de carbone, la fiscalité environnementale)
un commentaire de l’actualité par les bénévoles et salariés de FNE : négociations en cours, plan justice climat, déclaration conjointe de FNE et de la CFDT, etc
des témoignages écrits et vidéos, de militants ou d’experts, sur l’actualité des négociations climatiques.

Dans quelques jours, FNE mettra en ligne une carte de France des « projets climaticides » répertoriés par ses associations.

Vous exprimer

Sébastien Genest président de FNE déclare : « l’idée est simple : donner la parole aux milliers d’hommes et de femmes qui s’engagent chaque jour sur le terrain pour la protection de la nature et de l’environnement mais qui sont pourtant écartés des négociations climatiques en cours. L’idée est donc, un peu comme pour la France, de faire en sorte que le Copenhague « d’en bas » parle au Copenhague « d’en haut » ».

Ce site permettra aux associations membres du réseau FNE d’exprimer leur point de vue d’actrices de terrain confrontées à des projets « climaticides ». Elles pourront également présenter les projets qu’elles portent pour lutter contre le dérèglement climatique. Ce site permet également à tous les citoyens d’apporter un témoignage ou d’exprimer un point de vue sur ce qui constitue le rendez-vous majeur pour la lutte contre le dérèglement climatique.

En direct de Copenhague

Présent à Copenhague pendant toute la durée du sommet, France Nature Environnement fera, par le biais de ce site, un retour quotidien sur les avancées ou les reculs des négociations. Arnaud Gosssement, porte-parole de FNE, précise : « Vous ne pouvez pas venir à Copenhague ? Alors Copenhague viens à vous grâce à FNE. »

Toute l’équipe de FNE présente au Sommet mondial du climat vous en fera vivre les temps forts. Son but : décentraliser le sommet de Copenhague et créer le débat partout.
Lu sur http://www.cdurable.info/+Climat-Bienvenue-a-Copenhague-avec-FNE,1593+.html
Le SITE FNE : http://www.fne.asso.fr/fr/climat/sommet-de-copenhague.html

vendredi 20 novembre 2009

La publicité devient-elle plus éco-responsable?



Dans la suite du Grenelle de l'environnement, les publicitaires se sont engagés à lutter contre le « greenwashing » et les allégations environnementales en signant la « charte pour une publicité éco-responsable ». Un premier bilan qui s'avère « très satisfaisant » pour le gouvernement. Mais « un auto-contrôle laxiste » pour les ONG qui rejettent depuis le début l'autorégulation par la profession et demandent une réglementation.
Le premier bilan de la charte pour une publicité "éco-responsable", signée en avril 2008 par les publicitaires et le gouvernement, a été publié le 15 septembre dernier. Adoptée après le Grenelle de l’environnement et les débats souvent houleux avec les ONG qui ont suivi, elle interdit d'utiliser l'argument écologique quand le produit ne l'est pas et d'inciter à un comportement qui peut porter atteinte à l'environnement (en minorant le réchauffement climatique par exemple). La charte engage pour cela les publicitaires à consulter l’ARPP ( autorité de régulation de la publicité, ex BVP) avant diffusion de toute campagne ayant recours à des arguments écologiques. Elle a également instauré en 2008 un jury de déontologie publicitaire, instance dotée de pouvoirs de sanction pouvant conduire au retrait d’une campagne en cas d’allégation environnementale trompeuse.
Jean-Louis Borloo, qui avait menacé de réglementer la profession si l’autorégulation s’avérait un échec, estime aujourd’hui que « la confiance est au rendez-vous. On peut constater la très forte mobilisation des uns et des autres". Satisfecit partagé par Jean-Pierre Teyssier, président de l’ARPP, pour qui « les six articles de la charte, qui constituent chacun un engagement précis, ont tous été mis en oeuvre".
Lu sur http://www.novethic.fr/novethic/entreprise/pratiques_commerciales/marketing/publicite_eco_responsable_professionnels_satisfaits_ong_beaucoup_moins/121624.jsp?utm_source=newsletter&utm_medium=Email&utm_content=novethicInfo&newsletter=ok

mercredi 18 novembre 2009

OGM : Les faucheurs relaxés à Chartres, jugés en appel à Versailles



Cinquante-huit faucheurs volontaires d’OGM sont jugés depuis mercredi devant la Cour d’appel de Versailles pour la destruction d’une parcelle de maïs transgénique en 2007. Le tribunal correctionnel de Chartres les avait relaxés en première instance le 6 juin 2008, au lendemain de l’adoption par le Parlement de la Loi sur les OGM.
Le procès en appel de cinquante-huit faucheurs volontaires d’OGM s’est ouvert mercredi 18 novembre devant la Cour d’appel de Versailles. Ces derniers sont poursuivis pour la destruction d’une parcelle de maïs transgénique en 2007 à Poinville en Eure-et-Loir et pour vingt-trois d’entre eux, pour avoir refusé de se soumettre à un prélèvement d’ADN durant leur garde-à-vue. Le 6 juin 2008, le Tribunal correctionnel de Chartres qui les jugeait en première instance, avait prononcé leur relaxe pour l’ensemble des chefs d’accusation. Une décision à forte portée symbolique, l’audience s’étant ouverte le 22 mai 2008, jour de l’adoption par le Parlement d’un projet de Loi issu de la transposition d’une directive européenne de 2001, reconnaissant « la liberté de consommer et de produire avec ou sans OGM » et instaurant un délit de fauchage passible de deux ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende. Le parquet avait fait appel de ce jugement.

Loi sur les OGM en toile de fond

« La particularité » du procès qui s’est tenu à Chartres en 2008, « est qu’il s’est inscrit dans un calendrier politique très particulier, à un moment où les OGM étaient d’actualité avec l’attente des conclusions du Grenelle de l’Environnement et le vote de la loi sur les OGM », a expliqué à l’AFP Franciska Soler, l’une des prévenues. Pour elle, l’objectif du procès en appel « est d’obtenir la confirmation de la relaxe et de montrer que le citoyen a son mot à dire en matière de protection de l’environnement et d’alimentation ». Le semencier Monsanto a de son côté prévenu qu’il entendait « faire valoir ses droits », déplorant « des actes de violence », sur un site « contrôlé à maintes reprises par les autorités ». « Il est plus que temps de relire la loi de juin 2008 et de ne pas laisser à une minorité la possibilité de bloquer le débat » a déclaré son directeur des affaires publiques Yann Fichet. Lu sur http://www.developpementdurablelejournal.com/spip.php?article5563

FAO : Sommet pour un milliard d’affamés



Avec plus d’un milliard de personnes sous-alimentées dans le monde, la FAO appelle à une augmentation de la production de denrées alimentaires « là où vivent les pauvres et les affamés » et à un renforcement des investissements en agriculture. Aucun chef d’Etat ou de gouvernement du G8 (à l’exception de Silvio Berlusconi) ne s’est pourtant déplacé à Rome où se tient, du 16 au 18 novembre, le Sommet mondial sur la sécurité alimentaire.
« Il ne peut y avoir de sécurité alimentaire sans sécurité climatique », a lancé Ban Ki-moon, qualifiant la crise alimentaire actuelle de « sonnette d’alarme pour demain ». Selon le secrétaire général de l’ONU, les conséquences seront dramatiques pour la production alimentaire mondiale alors que la démographie se poursuit à un rythme soutenu dans les pays en développement. « Si les glaciers de l’Himalaya fondent, cela affectera les moyens d’existence et la survie de 300 millions de personnes en Chine et jusqu’à un milliard de personnes à travers l’Asie ». Les petits paysans africains, qui produisent la majeure partie des denrées alimentaires du Continent et qui dépendent principalement de la pluie, pourraient également voir leurs récoltes baisser de moitié d’ici à 2020. « Nous devons opérer des changements significatifs pour nous nourrir et, plus particulièrement, pour protéger les pauvres et les plus vulnérables », commente Ban Ki-moon.
Lu sur http://www.developpementdurablelejournal.com/spip.php?article5550

lundi 16 novembre 2009

Lutte contre le CO2 : Une taxe au kilomètre aux Pays-Bas


Les Pays-Bas imposeront en 2012 aux automobilistes une taxe au kilomètre parcouru. La mesure devrait permettre, selon le gouvernement, de réduire les rejets de CO2, mais aussi les embouteillages et le nombre de morts sur les routes.
Les Pays-Bas ont annoncé qu’ils allaient introduire en 2012 une taxe au kilomètre parcouru. Son montant pour une voiture familiale sera de 3 centimes d’euro en 2012. La somme augmentera progressivement pour atteindre en moyenne les 6,7 centimes en 2018, le prix variant en fonction de la taille du véhicule et de ses émissions de CO2, a précisé le gouvernement néerlandais. En contrepartie, les taxes à l’achat d’un véhicule, représentant 25% du prix d’une voiture neuve, seront supprimées.
Chaque véhicule néerlandais sera équipé d’un appareil muni d’un GPS qui indiquera le nombre de kilomètres effectués. Ces données seront envoyées à un bureau d’encaissement qui établira la facture, a indiqué le ministère néerlandais des Transports dans un communiqué.
La mesure vise à réduire de 10% les rejets de CO2 et de 15% le nombre total de kilomètres parcourus aux Pays-Bas. « Le nombre de morts sur les routes devrait également baisser de 7% », précise le ministère qui s’attend à une hausse de 6% de fréquentation des transports en commun. Lu sur http://www.developpementdurablelejournal.com/spip.php?article5546

ANIMAUX DE COMPAGNIE


« La façon dont une nation s’occupe des animaux reflète fidèlement sa grandeur et sa hauteur morale. » - Gandhi. Dans les sociétés occidentales développées et urbanisées, les animaux de compagnie, objets d'attachement nous rassurent par leur présence. Ils rompent la solitude et l'isolement social. Mais combien coûte à la planète l’affection qu’ils peuvent nous donner ?
Indispensable compagnon de l’homme, l’animal de compagnie a sa place dans un foyer sur deux en France. Comme son nom l’indique, un animal de compagnie est destiné, non pas à travailler pour l’homme ni à lui fournir de quoi se nourrir mais juste à être présent auprès de lui. L'animal de compagnie est un objet d'attachement dont la présence est rassurante. Il rompt la solitude et l'isolement social. C'est une aide précieuse pour certaines catégories sociales, notamment les personnes âgées et les enfants. Seulement voilà : à l’heure où tous nos gestes quotidiens comptent dans notre bilan environnemental, le choix d’un compagnon à poils, à plumes ou à écailles devrait intégrer des critères environnementaux. Le mode de vie de l’animal, son alimentation, les produits que son propriétaire achète pour lui font que l’animal exerce sur l’environnement un impact plus ou moins élevé. Petit tour d’horizon des enjeux liés à la présence de ces petites (ou grosses) bêtes chez nous et inventaire des solutions écolos à notre portée !
Plus sur http://www.mescoursespourlaplanete.com/TrucsVerts/Animaux_de_compagnie_90.html

vendredi 6 novembre 2009

Nouvelle campagne de l'OIM : Les consommateurs invités à contribuer aux efforts pour mettre fin à la demande de main-d'œuvre exploitée


Le coup d'envoi de la campagne “Buy Responsibly” (« Acheter responsable ») est donné Place Schuman à Bruxelles par une mise en scène du message publicitaire qui sera aussi diffusé à la télévision, dans lequel des miniatures représentant des travailleurs migrants victimes de la traite sont enfermées dans un caddie géant renversé.

Les consommateurs sont invités à consulter le site www.buyresponsibly.org pour obtenir de plus amples informations sur la traite des êtres humains aux fins d'exploitation de main-d'œuvre, et sur ce qu'ils peuvent faire pour y mettre fin.

Lu sur http://www.iom.int/jahia/Jahia/media/news-releases/newsArticleEU/cache/offonce/lang/fr?entryId=26479

mercredi 4 novembre 2009

A Francfort, un projet réconcilie l'écologie, l'économie et le social


Le programme initié par la ville de Francfort sert de modèle dans le reste du pays : il réunit réinsertion dans le monde du travail, économie d'énergie, et soutien aux ménages modestes.
Plus sur http://www.novethic.fr/novethic/planete/environnement/energie/a_francfort_projet_reconcilie_ecologie_economie_et_social/121939.jsp?utm_source=newsletter&utm_medium=Email&utm_content=novethicInfo&newsletter=ok

mardi 3 novembre 2009

Négociations climat : Les ONG mettent la pression


Déterminer à faire avancer les négociations sur le climat, les associations écologiques, dont WWF, Oxfam et Greenpeace, ont multiplié les actions de sensibilisation lundi 2 novembre, jour d’ouverture à Barcelone de l’ultime round de discussions avant le Sommet de Copenhague. (correspondance)
Un millier de réveils « verts » ont sonné symboliquement, lundi 2 novembre à 8h30, pour accueillir sur le parvis du centre de convention de Barcelone (Fira Barcelona) les délégués venus assister à la journée inaugurale de la dernière conférence sur le climat avant Copenhague. Imaginée par l’association TckTckTck, qui représente des ONG de l’ensemble de la planète, l’opération visait « à réveiller les représentants des leaders mondiaux sur l’urgence de faire progresser les négociations ». Oxfam, Greenpeace et WWF sont également venus en force pour cette ultime rencontre. « Leaders mondiaux, il est temps d’agir », affichait sur un panneau World Wild Fund for nature sur le parvis de la Fira Barcelona, tandis que des militants de Greenpeace escaladaient en cœur de ville la cathédrale de la Sagrada Familia, pour déployer des banderoles appelant à sauver le climat. « Les délégués présents doivent dire au reste du monde, à leurs dirigeants et au public qu’un accord peut être réalisé et qu’une entente entre nations riches et pauvres est possible », explique Kim Carstensen, responsable de WWF Global climate initiative qui s’inquiète de l’important retard pris dans les négociations.

L’Europe en exemple

Oxfam a appelé les Etats-Unis « à suivre la voie de l’Europe » qui s’est décidée vendredi 30 octobre à estimer l’effort financier mondial nécessaire pour soutenir les pays en développement dans la lutte contre le réchauffement climatique. Pour l’ONG, la rencontre mardi 3 novembre à la Maison-Blanche du président américain Barack Obama, de la chancelière allemande Angela Merkel et du président de la commission européenne José Barroso, est l’occasion de réaliser « une entente concrète » sur un éventuellement financement des deux principales puissances économiques de la planète. L’association estime à 150 milliards d’euros par an l’aide nécessaire à apporter par les états riches aux nations pauvres pour les aider à réduire leurs émissions de CO2 et s’adapter au changement climatique.
« Votre travail est d’arrêter des options claires pour les politiques sur les principaux points afin de permettre aux ministres de trancher à Copenhague », a lancé Connie Hedegaard, ministre danoise chargée du Climat et future présidente du Sommet de Copenhague, aux délégués de plus de 180 pays présents à Barcelone. « Pas la fois prochaine, mais cette fois ».
Lu sur http://www.developpementdurablelejournal.com/spip.php?article5473

lundi 2 novembre 2009

Les guerres du climat : pourquoi on tue au XXIe siècle


Pendant que les discussions gouvernementales à l’approche du sommet de Copenhague font émerger la question des réfugiés climatiques, Harald Welzer, psychosociologue allemand - dont les travaux ont trait aux liens entre l’évolution des sociétés et la violence -, rappelle dans un essai d’anticipation, publié chez Gallimard, que l’inexorable dégradation de l’environnement et la baisse des ressources mondiales vont conduire à une multiplication des catastrophes sociales.
Plus sur http://www.cdurable.info/Les-guerres-du-climat-pourquoi-on-tue-au-XXI-e-siecle,2078.html